Un drôle de radeau …
Ce dimanche 5 juillet, un drôle de radeau de bois rectangulaire a glissé sur la Seine le long du Ministère des finances, de Notre-Dame, du Louvre, de La Concorde, puis a salué la Tour Eiffel avant dedescendre jusqu’à Boulogne. Vous ne rêviez pas !
Il s’agit dela reconstitution d’un train de bois.
Pendant près de 400 ans, Paris était alimenté en bois de chauffage en provenance du Morvan. Il était acheminé grâce au flottage du bois, ainsi naquit le canal du Nivernais. Les descendants des flotteurs ont reconstruit à l’identique un de ces radeaux et l’ont conduit jusqu’à la capitale, comme quatre siècles auparavant.
Un train de bois
C’est un immense radeau de 72 à 75 m de long, 4,50 m de large, de 40 à 60 cm d’épaisseur, et d’une contenance moyenne de 200 stères de bois. Celui de Paris mesure 72 m de long.
Sa construction, extrêmement complexe, demande environ une semaine de travail à six ouvriers expérimentés.
Un périple de 267 kilomètres, 21 jours et 64 écluses, sur le Canal du Nivernais, l’Yonne et la Seine. Il est conduit par une poignée d’hommes debout, en tenue traditionnelle, blouse bleue et pantalon noir. Le périple fut long : 267 kilomètres, 21 jours et 64 écluses, sur le Canal du Nivernais, l’Yonne et la Seine!
«Le dernier train de bois, passé sous les ponts de Paris, précise Daniel Griveau, le vice-président de l’association Flotescale à l’origine du projet, remonte à… 1877. Je suis heureux d’être à Paris. A chaque étape de notre parcours, depuis Clamecy, nous étions attendus par des centaines de personnes qui s’intéressaient à notre projet, notre aventure, posaient des questions. Les ponts étaient remplis d’enfants qui saluaient au passage. Une institutrice avait même demandé aux parents de fournir un pique-nique à ses élèves pour être certaine que sa classe ne manque pas le passage du train de bois à l’écluse…»
Un projet créé par des passionnés
L’association Flotescale, créée en 2011 par des passionnés d’histoire et de patrimoine, s’est donnée pour mission de faire revivre un monde aujourd’hui disparu. Pendnat des mois, et avec une énergie imperturbable, les hommes ont étudié les techniques de construction, lié les bûches dans la plus pure tradition, appris à construire les radeaux avec l’aide de jeunes en service civique, obtenu les autorisations de naviguer jusqu’à Paris, grâce aux VNF (Voies navigables de France)…L’Yonne et la Nièvre se sont mobilisées, ainsi que les communes de Clamecy, Joigny, Migennes, Auxerre, Villeneuve-sur-Yonne, Sens…
Une épopée qui remonte au XVIe siècle
L’épopée des flotteurs de bois remonte au XVIe siècle. Déjà sous François Ier, Paris commençait à manquer de bois pour chauffer ses 300000 habitants et alimenter les fours à pain. Ceproblème crucial angoissait Paris, il fallait trouver du bois “de chauffe et de four”.
Les forêts qui entouraient la capitale était réservées aux chasses royales. Les Parisiens se tournèrent alors vers le Morvan, cette terre semi-sauvage et ses forêts e hêtres et de chênes. Le bois était abondant et de bonne qualité. Le transport par la terre était beaucoup trop onéreux, long et dangereux. Restaient les rivières, mais l’Yonne était difficilement navigable. Pourtant la rivière Yonne se révèlera un formidable outil pour acheminer le bois, grâce notamment aux techniques de Jean Rouvet, négociant parisien. Il met au point un système de régulation du cours de l’Yonne qui, par le jeu des pertuis (sorte de barrages mobiles), des retenues d’eau et des crues artificielles, permet de flotter le bois du Morvan jusqu’à Paris.
Charles Leconte, Maître d’oeuvre de la Charpenterie de l’Hôtel de Ville de Paris, Nivernais d’origine, fait arriver à Paris, le 20 avril 1547, depuis l’Yonne, un train de bois à brûler, premier train de bois de mosle qui soit advenu en ladite ville de Paris. En voici le procès-verbal :
“Aujour d’huy est venu au Bureau de la Ville maistre Charles Leconte, maistre des œuvres de charpenterie de l’Hostel de ceste ville de Paris, lequel nous a dict et remonstré avoir fait charroyer d’une vente de boys par luy prinse de Madame la duchesse de Nevers, les boys des Garammes près Chasteau-Sans-Souef (aujourd’hui Château-Sansys), pays de Nivernoys, grande quantité de bois de chauffage dont à présent il en a faict admener du port du dict Chasteau-Sans-Souef, sur la petite rivière d’Yonne, tant par la dicte petite rivière d’Yonne, la grande rivière d’Yonne et rivière de Seyne, à flotte, liez et garottez, la quantité de trois grans quarterons de mosle au compte du boys, et arrivez ce jour d’hier en ceste ville de Paris, au port des Célestins, pour l’expérimentation et première foys qu’il ayt esté admene boys de chauffage en flotte du pays d’amont, et affin d’en faire admener cy-après, en la dite sorte à ses dangers, despens, périls et fortunes.”
Deux ans plus tard, les radeaux arrivaient régulièrement dans la capitale : l’épopée des flotteurs de Clamecy avait commencé. Petit à petit, c’est toute une économie qui s’est mise en place, très réglementée, avec son rythme, son organisation, ses métiers. Ainsi, au début du XVIe siècle, 300000 stères partaient chaque année pour Paris. A l’apogée du flottage, au XIXe siècle, ce chiffre montait à un million.
Pendant plusieurs siècles, cette activité va faire vivre des milliers de familles bourguignonnes. Les archives locales mentionnent pour 1804, 3 535 trains de bois confectionnés autour de Clamecy et 1 051 à Vermenton, dans le département de l’Yonne. L’ensemble représente près de 90% du bois consommé à Paris !
Si d’autres régions pratiquaient le flottage à bûches perdues, qui consistait à envoyer des troncs dans les rivières pour le gros œuvre, le Morvan eut le monopole des trains de bois.
Au XIXe siècle, un million de stères partaient chaque année pour Paris
L’hiver, les bûcherons abattaient les arbres d’une vingtaine d’années, puis les débitaient en bûches. “A la Toussaint de la même année, des marchands venaient acheter les bûches, qu’ils martelaient rapidement. Puis on profitait des périodes de pluie pour les lancer dans le moindre ruisseau; sinon, on les transportait en charrette jusqu’à un des nombreux ports de jetage sur l’Yonne, ou sur la Cure. Des retenues d’eau y étaient aménagées, qu’on ouvrait une fois le bois jeté pour créer du courant.”
“Des hommes suivaient le trajet des bûches, les tirant ou les poussant avec leurs crocs. Certaines coulaient. Il fallait absolument récupérer ces «canards» comme on les appelait, aucun morceau de bois ne devant être perdu, et la loi interdisant à quiconque d’empêcher la circulation des bûches sur les ruisseaux.”
“A Clamecy le bois était sorti de l’eau, trié, empilé et strictement surveillé par l’administration. Sur tout le trajet, les réglementations étaient en effet très strictes: chaque port avait son chef qui prélevait une taxe, des jurés comptaient les bûches. Les marchands de bois recrutaient ensuite des hommes pour construire les trains de 36 mètres chacun. Du bois tordu jusqu’à être défibré servait de lien entre les bûches. Et comme rien ne se perdait, ces liens étaient revendus à Paris comme allume-feux. En 1804, la ville de Clamecy employait ainsi 5000 personnes au flottage et envoya 3350 trains de 200 stères chacun vers la capitale! Le voyage jusqu’à Paris durait onze jours. Souvent des jeunes garçons de quatorze ou quinze ans étaient chargés de conduire les radeaux dans les méandres de l’Yonne jusqu’à Auxerre, où ceux-ci étaient réunis deux par deux en trains de 72 mètres. Les accidents étaient fréquents car la plupart des flotteurs ne savaient pas nager, et les garçons devaient revenir à pied d’Auxerre à Clamecy.”
L’arrivée du chemin de fer, sous le Second Empire, met un terme à cette activité
“Les trains de bois s’arrêtaient ensuite à Charenton, où ils attendaient l’ordre de partir pour Paris. La capitale possédait trois aires de stockage: l’île Louviers en amont de l’ile Saint-Louis, rattachée depuis aux berges de la Seine, le port de la Grenouillère à Solferino et l’île des Cygnes, aujourd’hui disparue, au Gros-Caillou.”
“Dans chaque port, les bois étaient triés par essence: le bois blanc (bouleau, peuplier) étant vendu moins cher que les autres. Avant l’adoption du système métrique en 1795, on mesurait le bois en «moules» et en «cordes», chaque port ayant des calibres différents!”
Le Canal du Nivernais est inauguré en 1841. Pour l’alimenter, il faut puiser l’eau de l’Yonne, et les opérations de flottage s’en trouvent ralenties. Mais l’arrivée du chemin de fer, sous le Second Empire, met réellement un terme à cette activité. Le charbon contribuera aussi à mettre un point final à cette extraordinaire épopée au début du 20e siècle.
Depuis quelques années, les Morvandeaux renouent avec l’histoire du flottage
Depuis quelques années, les Morvandeaux renouent avec l’histoire du flottage, qu’ils avaient longtemps négligée. Au musée d’Art et d’Histoire Romain-Rolland de Clamecy, en face des pièces consacrées à l’auteur d’Au-dessus de la mêlée, une salle très didactique et bien agencée, consacrée au flottage, a été ouverte en 2003, sous la charpente. L’architecte Andrea Bruno a posé au sol un parquet irrégulier sur des plaques de verre éclairées du dessous. On croirait marcher sur un train de bois! A côté de photos anciennes, de gravures représentant la vie quotidienne des flotteurs, quelques témoins de cette activité disparue: des crocs, une lanterne, des brouettes, des marteaux à marteler, des chaudrons en étain ornés d’une tête d’ange dans lesquels les femmes apportaient les repas…
Le flotteur
Les hommes sont équipés de longs épieux terminés par un crochet de fer; ils étaient tous des gardes forestiers du pays, grands dignitaires de la circonstance ; ou des marchands de bois de Paris ou de province, revêtus d’une blouse bleue et d’une casquette en peau de loutre. Vers 1890, les flotteurs de l’Yonne, aux moeurs bien particulières, portaient, avec le pantalon de velours côtelé, une courte blouse de poulangis dite bourgeron.
Les flotteurs de l’Yonne portèrent longtemps non le béret des débardeurs parisiens dit “plumet” bien qu’une carte postale largement répandue voudrait le faire croire – mais la casquette de soie noire, assez haute, confectionnée depuis le début du Second Empire par une ouvrière de Clamecy.
A Auxerre, “le petit homme d’arrière”, un garçon de 14 à 15 ans qui aidait le flotteur placé à l’avnt du train sur la partie la plus difficile du parcours, descendait et rejoignait à pied Clamecy.
“…mais bien pour vous présenter les flotteurs, les “poules d’eau”, les “grèbes”, rudes hommes et grandes gueules, gais et insouciants, forts et souples, comme tous les gens de métier libre, très attachés à leurs libertés, prompts au coup de tête at par-dessus tout fidèles à Saint Nicolas leur patron, dont le culte se bornait, il faut le dire, aux processions, offices et ripailles, aux fêtes mangeoires !
On les reconnaissait à leur grande voix et à leur courte blouse de poulangis, à leur “cassette” de cuir à rabat, où se trouvaient le “goué”, ou serpe à taillant convexe, la “fouine” à trois dents pour tirer et pousser, le “picot” et l'”accroc”, anspects particuliers.” Henri Vincenot
L’accroc ou croc, le picot sont les outils du flotteur. Ils lui permettent de manoeuvrer le train de bois.
Photo d’archive : Charles Leconte fait arriver et garer à Paris le premier train de bois à brûler adevnu en la ville – 1547
Sources :
C’est une excellente idée de permettre de ne pas oublier et de mieux connaître les techniques d’antan ! C’est super de ta part de nous en faire un si bel article instructif et intéressant.
Bisous
Am
Formidable reportage qui nous explique bien, combien la vie des Parisiens dépendait de la matière première énergétique à cette époque jusqu’à l’apparition du chemin de fer.
Bravo et merci !
Une bellepage d’Histoire avec de magnifiques photos!
Bises Francine
Ce train de bois a dû surprendre les bateaux qui l’ont croisé
Passe une belle soirée Francine
Bisous
l’ancêtre de la péniche en quelque sorte , en tout cas une belle découverte pour ma part … bonne soirée Francine
Merci pour ce superbe article, tellement bien documenté et tes photos magnifiques, on en redemande 🙂
Bises
Merci !! à demain matin, comme d’habitude !!!bisoussss
merci pour ce beau billet bien documente. javais des amis a dejeuner je nai donc pas vu le Jt! bonne fin de journee a toi, bises
bonsoir francine tres intéréssent merci de ces belles photos c est drolement bien constuit pour tenir comme sa sur l eau et sa ce tord il faut etre adroit pour le mener bonne soirée bisessssssssss
Alors la tu nous a encore fais un super article et très intéréssant
Bonne soirée
Merci beaucoup, Didier 🙂
Bonjour, je suis en train de photographier des papillons en vol ….quelle galère pour avoir une photo correcte, c’est que ça bouge et que dans le viseur ce n’est pas gros donc difficile à suivre….mais je l’aurai un jour…je l’aurai……Bisous.
coucou francine et gros bisous a toi
bonjour Francine
il y a une époque où les fleuves étaient beaucoup utilisés c’est bien de montrer ce qui existait à cette époque
Oups ! tu as écrit dans le paragraphe les flotteurs “c’étaient tous des gardes” au lieu de c’était en fait j’ai un doute
bises Cathline
oui, mooi aussi, je pense que les deux sont corrects, je vais contourner le problème, je vais enlever le c’ !!!!!
Bonjour Francine,
Un train de bois, je ne savais même pas que ça existait !
Une belle découverte que voilà 🙂
Je te souhaite une belle journée, bisous.
salut
bravo pour ces photos
Et dire que dans le temps c’est comme ça qu’on transportait le bois
bonne journée
Une reconstitution qui permet de rafraichir la mémoire et de voir notre évolution
jolies photos
chez nous le temps devient gris, sans doute de la pluie, la bienvenue pour les plantations..
petite chute des températures, mais c’est mieux et plus supportable, surtout la nuit……
bonne journée de mardi
Bonne journée
Jean
Coucou ma Francine, oui les champs de lavande sont une merveille.
Tu imagines Paris au milieu de champs de Lavande ? Trop beau non ?
Comment vas-tu en ce mardi ? J’espère bien ou mieux.
Un peu de fraicheur pour gommer la chaleur, c’est ce que je t’apporte
ce matin. Même si fraicheur est un grand mot par chez moi.
Un café je veux bien, c’est bon pour le moral. Pas bien grand chose
à dire de neuf ce matin, donc je te souhaite une belle journée.
Prends soin de toi.
Lolli
Pas facile à manœuvrer cet engin
JP
Un reportage très intéressant sur ces trains de bois dont j’ignorais l’existence .
Bises
Coucou Francine!
Mais oui !j’avais vu la diffusion sur une des chaines! extraordinaire de remonter dans le temps!!!
gros bisous!!!!!!
Bonsoir Francine,
Belle reconstitution de cet immense radeau ….
Ils étaient plus astucieux que nous maintenant !
ça ne polluait pas au moins et tant qu’à avoir des cours d’eau qu’ils servent à quelque chose !
Bon mardi, bises
Bonsoir Francine,
c’est une forêt qu’ils transportaient là, heureusement pas celle des Bois noirs.
Impressionnant cortège qu’ils ont mené à bon terme. Belles photos et toujours des sujets fort intéressant.
Bonne nui et meilleur temps. Bisous.
Bonsoir Francine,
Ce qui nous paraît insolite aujourd’hui devait être une vue commune il y a quelques suècles 🙂
Bonne semaine,
Frans
J’avais vu le reportage à la télé, mais ton article est bien plus documenté
Belle reconstitution
Passe une agréable soirée Francine
Bisous
Bonne soirée
jp
Merci Francine ! j’ai adoré ton article ! je n’avais jamais entendu parler de cette pratique !! impressionnant radeau et des chiffres qui donnent le tournis !!! C’est vrai qu’à l’époque peu de gens savaient nager ! cette parfaite ré édition aurait mérité qu’on en parle davantage dans les médias ….. Bises
Bonsoir Francine, tes photos sont de toute beauté et merci pour ce beau reportage. J’aime beaucoup ce train de bois.
Je te souhaite une belle soirée.
Bises
Hello Francine
La navigation sur les fleuves et les rivières était plus aisée que la route ou bien souvent on employait des mulets….
Belle reconstitution….
J’arrive de montagne l’altitude est bien fatigante quand on redescend à zéro….. Ce soir, je vais bien dormir
bizz
pat
Bonsoir Francine, alors ça je ne connaissais pas ce genre de transport sur la Seine?
Je pense que c’est pour une reprise en vue d’une fête car je ne pense pas que ce transport soit rentable de nos jours.
Pour Dany, non jamais vu mais elle est devenue une amie fidèle, on rigole bien par les blogs.
Voilà je te souhaite une belle fin de soirée.
Bisous.
Toujours au bonne endroit pour nous faire découvrir une merveille ! Bravo
toujours dans les bons coups, j’essaye, car il y a unmanque de communication flagrant sur le site de la Ville de Paris 🙁 alors je rateplein de choses et ça m’énerve 🙁
une construction de bateau que je ne connaissais pas , très instructif ton reportage …. bonne soirée
Bonsoir Francine voilà un reportage bien sympathique c’est magnifique ce train de bois ainsi au fil de l’eau au moins ils sentent bien la fraîcheur bonne soirée à toi bisou Claudine Daniel
Super reconstitution partie de Clamecy 😉 il faut imaginer qu’il y en avait des dizaines sur la Seine au XIX ème 😉
Bonne soirée Francine (:-*
j’ai vu cela au jt, c’est impressionnant et je salue leur performance !
bises
Je connais ça car j’ai lu il y a quelques mois un roman qui s’appelle ” La rouge batelière ” et qui parle de ce moyen de transporter le bois !
Bel après-midi, bisous !
Cathy
Bonjour Francine
Je connaissais déjà le flottage du bois sous presque toute ses formes, que ce soit en France, au Quebec ou ailleurs mais j’avoue que je n’avais jamais vu ce système, c’est impressionnant, ça fait quand même un grand radeau ! A voir dans Paris ce n’est pas vraiment une habitude, c’est terminé depuis longtemps, mais c’est très bien de maintenant la tradition, je reste traditionaliste français et je le cris haut et fort 🙂
J’espère que tu vas bien
Je te souhaite une belle journée
Gros bisous
@lain
heureusement que les températures chutes un peu,…
aujourd’hui le temps est très chaud mais moins que les derniers jours , le soleil bien présent avec un beau ciel bleu……
bonne journée de lundi
Bonjour , c’est très particulier , mais du plus effet , je n’en ai jamais vu…. jusqu’à aujourd’hui…merci ….La chaleur est très supportable à coté de ce que nous avons du subir….Bisous.
Hello,
Magnifique ce radeau.
Tes explications sont intéressantes.
Bon lundi
Bisous
Bonjour Francine quel beau billet très instructif, je n’avais jamais entendu parler du train de bois, maintenant je sais!!! merci, c’est comme toujours très intéressant. Bisous et bon après-midi MTH
Bonjour Francine
quel beau reportage tes photographies une merveilles à regarder et faire vivre l ancienne époque il faut le faire bravo a ces Messieurs sur la Seine et merci à toi de ces explications surtout et oui naviguer ainsi à l époque ne devait pas être facile alors je te souhaite un bon Lundi ton avatar est beau comme un cœur et caresses à tes 4 pattes bisous Danielle
Bonjour Francine
quel bea
Une belle reconstitution historique !! impressionnant à coté de la péniche !!
la seine à cette époque devait être assez encombré de ces trains de bois !!!
Belle journée Francine , Biz
Wow, c’est tellement impressionnant à voir, superbe!!! Gros bisous et bon lundi dans la joie et la tendresse!
Bonjour
Tes photos sont sublimes!
Cela doit faire du bien de se balader près de l’eau avec cette chaleur, non?
Bisous
c’est sûr, ça rafraîchit! merci pourlmes photos 😉
bonjour, juste au bon moment ou sans doute le savais-tu !
j’aime bien le fait qu’ils soient aller jusqu’à porter la tenue adéquate et la présence de jeunes. Le relais est passé !!
tu ne m’as pas donné de nouvelles de Muriel …
bisous
je n’ai pas de nouvelles de Muriel, c’est des miennes que je devais te donner 😉
ps : j’étais au courant pour le train de bois … je ne laisse pas le hasard me guider !!!!
Je trouve cela fabuleux ! j’ai vu à la télé qu’ils sont arrivés à 8 h du matin et qu’il n’y avait pas beaucoup de monde, dommage !
J’avais parlé d’un système semblable en Espagne. Quel courage chez ces hommes, je les admire réellement.
Merci pour ce long et beau reportage.
Bon lundi à toi.
il n’y a pas eu de comm, et c’est bien dommage, car les parisiens se seraient déplacés
Super ce reportage ! Et pittoresque…
Merci et bisous Francine
De très belles photos de ce radeau en bois, insolite sur la Seine .Quelle organisation ! bon début de semaine Francine gros bisous Rozy
insolite, oui, mais pas tant que ça, il y a quelque temps ça ne l’était pas!!
Terriblement intéressant…. C’est toute une période…
Fin mai nous étions un week-end au lac des “Settons” barrage construit pour pouvoir réaliser ces flottage dès le départ des rivières du Morvan…. Aujourd’hui un beau petit lac toujours rempli d’eau pour les touristes…
Bonne journée
Jean
Bonjour Francine,
tu ne m’aurais pas sur un engain pareil !
mais n’empêche c’est un beau travail.
Passe un bon lundi, gros bisous
Nadine
moi non plus !!! car ça bouge pas mal quand un bateau passe à côté
Bonjour Francine,
tes photos sont magnifiques… Quel belle reproduction que ce radeau de bois….Ton article est très intéressant..
Bonne journée, gros bisous
Bonjour Francine c’est vraiment un radeau exceptionnel hihi je pense l’avoir vu a la télé aussi bisous
Marcel
Coucou ma Francine, je trouve cet article très intéressant.
Ça me fait penser aux rembertes dans la Loire, une embarcation pour le bois…
Je viens voir si tout va bien en ce début de semaine.
Toujours la canicule et ça pèse un peu. lol !
Bientôt les vacances pour nous du 14 juillet au 30 août
et ça va faire du bien.
Un café tranquillement installée ce matin en ta compagnie,
car journée relaxe pour moi.
Bon et frais lundi avec mon amitié. Prends soin de toi.
Lolli
Sacré train de bois
bon lundi et a bientôt
lyly
bonjour Francine,
Voilà un très joli reportage sur ce passé qui sans ses gens motivés pour nous les faire revire , ne serait plus de ce monde .
Merci pour tes superbes photos….j’aime
amitiés
Si je connaissais le flottage à bûches perdues sur des distances relativement courtes, j’ignorais tout des trains de bois ! Merci pour le rappel d’une de nos anciennes traditions et pour ces belles photos ! Je trouve génial de faire revivre ces traditions …un peu pour retrouver nos racines !!! Bel hommage aussi à ces hommes courageux ! Belle semaine Francine Bisous
Merveilleux ce billet et instructif
Moins de pollution en ce temps -là mais il faut dire que les gens étaient très courageux , maintenant le travail ne fait pas peur à certains , c’est plus facile de tendre la main
J’ai apprécié ton billet ; j’♥
Bonne semaine
Bonjour francine
belle reconstitution ,le travail de ces hommes devaient être dur
Si la canicule continuait je ne passerai pas tous les jours sur mon blog
Ciel partiellement couvert ce matin et une légère baisse des températures
Je te souhaite de passer un bon début de semaine
gros bisous
Long comme un jour sans pain ce radeau… joli bond en arrière, merci Francine, belle journée, bises
Quel reportage! Je l’ai suivi avec passion, ces métiers oubliés méritaient que tu leur rendes un bel hommage.
Bises du jour de Mireille du Sablon
Bonjour ,
Je suis complètement sous le charme et admirative d’un tel article si bien documenté et illustré , que je vais reparcourir parce que je ne connaissais pas du tout .
Bises .
hello Francine
me voilà enfin revenue d’Allemagne où nous avons passé un très bon séjour avec nos petites filles
le train de bois, c’est impressionnant mais je n’y monterais pas !!! lol
je ne savais pas que ça existait encore
merci pour ce reportage
bisous
Coucou ma Francine,
Un magnifique billet et je découvre l’existence de ces trains en bois sur la seine. Je viens de passer un super moment en te lisant. Tes photos sont magnifiques. Une belle reconstitution par ces passionnés. Merci de cet excellent partage.
Bises et bon début de semaine. ZAZA
bonjour
ton article est superbe
bien documenté ,
quel périple en ce temps la d’ arriver jusqu’ à Paris
ces vieux métiers méritent que l ‘on en parle
( j avais vu des reportages sur les trains de bois mais pas sur la seine et je l ignorais )
bonne journée
bises
Une véritable industrie à l’ époque, qui faisait vivre des milliers de personne !
Là encore, c’ est le modernisme qui a tué ce métier.
Un rude métier, d’ autant qu’ on peut supposer qu’ à l’ époque, le trafic fluvial était plus important que de nos jours.
Merci pour ton article, et tes photos qui m’ ont permis de participer au spectacle insolite de ce train de bois que j’ aurais bien voulu voir franchir une écluse
Passe une bonne journée
Bisous
Bonjour, merci pour vos visites et commentaires ….