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Paris + par Art Basel La Cinquième Saison Jardin des Tuileries (2)

Double Heart, 2022 Gaetano Pesce
Galerie Champ Lacombe

Sculpture Fibre de verre, résine, métal, béton, ampoules électriques Dimensions de l’œuvre 500.0 x 489.5 (cm)

Figure majeure de l’histoire du design, Gaetano Pesce s’est inspiré d’une lampe qu’il a conçue en 1969 pour créer, en 2022, cette sculpture monumentale. Le double cœur rouge percé est un motif récurrent de ses dessins. L’œuvre fait écho à l’un des principes clés de sa philosophie artistique : l’idée que l’époque contemporaine ne peut renoncer à la joie, au romantisme et à une part d’exubérance qui émanent de tant d’êtres humains et d’objets. À l’entrée de ce lieu de promenade et de l’amour qu’est le jardin, l’image des cœurs percés, profondément poétique de par son symbolisme, contient aussi une forme d’incertitude et de possible tragédie du destin.

Gaetano Pesce a étudié l’architecture à l’Instituto Universitario di Architectura di Venezia (IUAV). Il a également suivi à Venise les cours de l’Institut de design industriel. L’artiste y a rencontré Milena Vettore, avec laquelle il a ouvert un studio à Padoue et fondé, en 1959, le groupe « N ». Depuis 1962, Gaetano Pesce travaille dans le domaine du design, expérimentant de nouveaux matériaux et des formes innovantes. Il a enseigné l’architecture à l’Institut d’architecture et d’études urbaines à Strasbourg pendant 28 ans, puis à la Cooper Union à New York, où il vit et travaille depuis 1980. Les œuvres de Gaetano Pesce figurent dans les collections permanentes de plus de 30 musées à travers le monde, parmi lesquels le Museum of Modern Art à New York (MoMA) et à San Francisco (SFMOMA), le Metropolitan Museum of Art (MET) à New York, le Vitra Design Museum en Allemagne, le Centre Pompidou et le Musée des arts décoratifs (MAD) à Paris, et le Victoria and Albert Museum (V&A) à Londres.

Les Représentants, 2022 Gloria Friedmann
Galerie Ceysson & Bénétière

Sculpture Résine, terre, acier, peinture, vernis Dimensions de l’œuvre 550.0 x 200.0 x 200.0 (cm)

L’artiste met en scène dans des « tableaux vivants » des animaux. Elle les appelle les « Représentants », afin de souligner que ces êtres, pour elle insuffisamment considérés, incarnent la force de la nature et combien nous avons à apprendre d’eux. Sa sculpture fait sienne la tradition scientifique de l’observation naturaliste comme les codes classiques de la statuaire animalière, tout en y apportant de l’humour et de l’étrangeté. L’artiste rend ainsi visible la coexistence au sein d’une même « communauté terrestre » des tortues qui soutiennent un visage, et d’un cerf, juché sur ce même visage, auxquels elle rend hommage par la monumentalité de son œuvre.

Gloria Friedmann quitte l’Allemagne pour la France en 1977. Autodidacte et principalement sculptrice, cette artiste prolixe déploie une énergie expérimentale dans des pratiques aussi différentes que la peinture, l’installation, la photographie, la performance ou la vidéo. Se saisissant d’un genre historique – le paysage – désinvesti par la sculpture contemporaine, elle se fait reconnaître au début des années 1980 par ses installations et performances ayant pour sujet la nature, dont elle estime « faire partie ». C’est cependant sur la nature « non humaine », celle existant « en dehors » d’elle-même, selon ses propres mots, qu’elle se concentre, et notamment sur les violences qu’elle subit. Des œuvres telles que Vagues Normandie (1983), composée de pare-brise cassé, ou Paysage d’hiver (1986) relèvent à la fois d’une poétisation du lexique de l’art minimal et d’une certaine culture des matériaux propres à l’Arte povera. Associant l’ironie, la parodie, l’incongru, Gloria Friedmann développe la logique d’une métaphore naturaliste en exposant les pièces d’une nature vraie, dont elle déplace des fragments selon la procédure du ready-made pour restituer davantage l’idée du chaos que celle d’une harmonie proverbiale.

The Politics of Black Silhouettes, 2023 Zanele Muholi
Galerie Carole Kvasnevski

Sculpture Bronze

L’artiste non binaire et queer mène depuis plusieurs années un vaste projet autour du portrait et de l’autoportrait. Iel donne à voir ceux et celles qui ne sont pas les modèles artistiques habituels, les invisibles, et en particulier les personnes noires LGTBQIA+ dans la société post-apartheid d’Afrique du Sud. Récentes dans son art, ses sculptures entrent en dialogue avec la statuaire du jardin. Questionnant les codes de la représentation, sans socle, elles rendent présentes les absences, du fait du sexe ou de l’origine. Face aux sculptures historiques guerrières, l’artiste se présente en contraste assis∙e et encore entravé∙e, en dormeur∙euse ou émergeant des profondeurs de la Terre.

Zanele Muholi documente et archive les vies et les luttes des communautés LGBTQI+, évoquant le sort de travailleuses noires sud-africaines, les violences et les questions d’identité au travers de portraits, de photographies, de calligraphies, d’installations ou, plus récemment, de sculptures et de peintures. La mission autoproclamée de Zanele Muholi est de « réécrire une histoire visuelle de l’Afrique du Sud pour que le monde entier connaisse notre résistance et notre existence au plus fort des crimes de haine en Afrique du Sud et au-delà ». Créant une esthétique puissante, audacieuse, à la force évocatrice inouïe, Sir Muholi s’affranchit des codes et des règles pour nous donner de nouveaux canons, de nouveaux modèles.

Serenade Serenade – Serenade And The Triumph Of Romance, 2023
Joël Andrianomearisoa
Galerie Almine Rech

Installation Verre, métal – Dimensions variables

Privilégiant la couleur noire, Joël Andrianomearisoa capte le sensible derrière chaque forme. Dans la continuité de ses recherches sentimentales, cette installation s’inspire des amours du 18e siècle, notamment de l’œuvre Les Progrès de l’amour du peintre Fragonard. À partir de la sculpture Daphné poursuivie par Apollon du bassin des exèdres, il imagine une sérénade en 15 chapitres, comme un voyage à travers nos imaginaires romantiques – des premiers mots à l’amour triomphant-, pour réaffirmer la nécessité vitale de la sentimentalité. Les vases de verre sont percés afin que l’eau s’écoule à travers, comme une fontaine que seule la nature pourrait activer par la pluie.

Joël Andrianomearisoa a obtenu un diplôme d’architecture à l’École spéciale d’architecture (ESA, Paris) en 2003. En englobant une grande variété de médiums, notamment l’installation, le dessin, l’artisanat, le textile, la performance, la vidéo et la photographie, ses œuvres explorent la matérialité des sentiments. Son travail sur les relations humaines s’exprime à travers la matière, les textures, les formes et les atmosphères. Mêlant le savoir-faire traditionnel et l’artisanat au sensibilité de l’ère numérique, ses œuvres introduisent la poésie et les sentiments dans la tradition minimaliste. Artiste de son temps, il considère son travail comme, selon ses termes, un « exercice permanent », exploitant sans cesse toutes les possibilités du textile, du papier de soie, du verre, des fleurs et de divers objets tels les miroirs, pour créer une œuvre polyphonique aux multiples facettes.

Baked Potatoes, 2006 Jacqueline de Jong
Galerie Dürst Britt & Mayhew

Sculpture Céramique émaillée – Dimensions variables

Peintre prolifique, graveuse, fondatrice de la revue The Situationist Times (1962-1967), Jacqueline de Jong crée depuis une quinzaine d’années à partir de pommes de terre qu’elle cultive elle-même. Elles sont le point de départ de variations peintes ou deviennent des sculptures portables dites « Pommes de Jong » – des bijoux uniques à partir de patates germées et séchées recouvertes d’or. En 2006, elle imagine les Baked Potatoes en céramique pour le jardin de la maison-musée d’Asger Jorn à Albissola Marina (Italie). Ici, suspendues à un treillis et flottant dans un bateau, les céramiques et pommes de terre mettent en valeur les formes sculpturales naturelles du plus simple des légumes.

 

Jacqueline de Jong est connue pour sa contribution à l’avant-garde européenne des années 1960. Au cours d’une carrière qui s’étend sur six décennies, son travail a exploré la violence, la banalité, l’érotisme et l’humour inhérents aux relations humaines. Alors que la peinture est la base de sa pratique, celle-ci intègre également la sculpture, la gravure et le bijou. Dans les années 1960, Jacqueline de Jong s’est engagée dans l’Internationale situationniste et le Gruppe SPUR. Elle a fondé The Situationist Times, l’une des revues les plus importantes et les plus expérimentales de son époque. En 1968, elle a défilé avec les étudiant∙e∙s à Paris, réalisant des affiches d’artistes pour soutenir le mouvement.

Lion (Bananas), 2022 Tony Matelli
Galerie Andréhn-Schiptjenko

Sculpture Béton, bronze peint Dimensions de l’œuvre 91.5 x 152.5 x 46.0 (cm)

L’artiste détourne les icônes de l’histoire de la sculpture et s’approprie la figure animalière du lion, symbole des gardiens de jardin. La statue est patinée jusqu’à recréer l’effet de l’usure du temps et des intempéries, et parsemée avec humour de bananes et de peaux de banane. D’un réalisme saisissant, elles sont en fait moulées dans du bronze classique et peintes à la main. Le genre de la nature morte et de la vanité rappelle le caractère éphémère de la vie. En rendant inaltérable le fruit sur un lion vieilli, l’œuvre évoque le passage du temps et la fausse jeunesse éternelle.

But round my chair the children run, 2023 Claudia Wieser
Galerie von Bartha, Sies + Höke

Carreaux émaillés et plaques de cuivre polies Dimensions de l’œuvre 313.0 x 293.0 x 232.0 (cm)

Puisant son inspiration dans l’architecture et l’histoire, l’artiste travaille à l’intersection de l’art et du design. Cette œuvre a été spécialement créée pour le Jardin des Tuileries, où se situaient, au Moyen Âge, des fabriques de tuiles. Elle associe plus de 2 000 carreaux émaillés à la main, qui portent les coups de pinceau de l’artiste et sont complétés par des plaques de cuivre polies. Cette composition géométrique, aussi minimaliste qu’imposante, invite le public à admirer, dans cette « œuvre-banc », les liens entre la matière et l’espace. Elle renvoie aussi bien à l’histoire de l’habitat moderniste qu’à la longue tradition artisanale parisienne.

Claudia Wieser a bénéficié d’expositions personnelles au sein de nombreuses institutions, parmi lesquelles : le musée Yves Saint Laurent à Paris (2023-2024) ; le Brooklyn Bridge Park et le Public Art Fund à New York (2021-2022) ; le Smart Museum of Art à Chicago (2020) ; le Bemis Center for Contemporary Art à Omaha (2020) ; le Museo d’Arte Contemporanea di Villa Croce à Gênes (2017). Elle a également participé à des expositions collectives, notamment à la Hamburger Kunsthalle (2020-2021) ; au Contemporary Arts Center New Orleans (CACNO) (2019) ; à l’Asia Culture Center (ACC) à Gwangju, Corée du Sud (2019) ; au McClelland Sculpture Park+Gallery à Melbourne (2019) ; au Museum für Moderne Kunst (MMK) à Francfort (2018) ; au Marta Herford Museum für Kunst à Herford (2018) ; et à la Bundeskunsthalle à Bonn (2018).

Ares, 2023 Vojtech Kovarik
Galerie Derouillon

Sculpture Polystyrène, métal, béton

Fasciné par la mythologie grecque où tous les êtres étaient hybrides, l’artiste explore la face cachée des héro∙ïne∙s et leurs tourments intimes. Représentant en grand format des personnages vulnérables, façonnant des formes rondes, il ouvre la voie à un héroïsme différent, plus humain, ainsi qu’à une nouvelle monumentalité sans grandiloquence. L’aspect brut de la matière brouille nos repères chronologiques : ce guerrier au repos est-il antique, notre contemporain ou venu du futur ? Face aux thèmes guerriers présents dans ce jardin historique, Vojtěch Kovařík nous offre un regard plus intime et une lecture psychologique des états d’âme de certaines figures de l’histoire.

Vojtěch Kovařík est porteur des héritages multiples d’une génération qui, née après la chute de l’URSS, a vécu l’ouverture à la culture occidentale mondialisée. Partant de son expérience des images et des récits hybrides, il revient sur l’essence plurielle des mythes. Il en existe toujours plusieurs versions, sujettes à révision et à interprétation, car la vérité n’est jamais univoque chez les Grecs. En redonnant vie à ces personnages connus, l’artiste souligne que les êtres ne sont jamais figés et que le contexte n’est pas neutre dans la définition d’une identité. Son travail traduit sa temporalité particulière et le sentiment trouble d’une hybridité persistante.

Sources :
paris plus artbasel

Avec la courtoisie des artistes et des galeries

44 commentaires pour “Paris + par Art Basel La Cinquième Saison Jardin des Tuileries (2)”

  1. Bonjour Francine me revoilà, merci des petits coucous pendant mon absence je ne passe que maintenant car je suis très occupé avec mes affaires à remettre en place et reprendre mes petites habitudes .
    Je vois que tu as fait beaucoup d’articles ,je regarderai ça quand j’aurai 5mn ,j’espère que tu vas bien ici de la pluie .
    Superbes ces sculptures modernes j’aime bien merci du partage , passe une très bonne fin de semaine , bisous.

  2. Bonjour Francine c’est vraiment un merveilleux reportage avec toutes ces sublimes photos que tu partage avec nous j’apprécie bon dimanche Claudine Daniel

  3. Salut

    On fait attention à nos tuiles car la tempête est annoncée. Tous les ans il y en a qui se détachent.

    J’espère que tout va bien pour vous.

    Bon dimanche

  4. bonjour Francine
    j’aime le pricincipe du musée pour tous, dans les espaces public. Les 2 coeurs, les blacks sihlouettes ainsi que la dernière sculptures j’apprécie beaucoup. Pour les bananes, avant d’avoir lu tes renseignements je les croyais vraies !!
    bisous

  5. Bonjour Francine
    Très original, j’aime beaucoup les coeurs mais aussi cette sculpture avec les bananes, c’est tellement insolite. Les statues sont très belles, j’admire le cerf et tes photos ont de ravissants reflets d’eau.
    Depuis au moins 2 semaines dame météo nous annonçait de la pluie et rien de rien, juste un pipi de chat il y a quelques jours, et de nouveau ce matin on nous annonce de la pluie et ce matin rien soleil voilé, très lourd, pas de vent et à l’instant ENFIN la pluie est arrivée et mon jardin s’en réjouit, car on en avait bien besoin. J’espère que chez toi tu profites bien de belles journées automnales.

    Vous changez d’heure ce soir en métropole etc… et nous ne changeant jamais d’heure à la Réunion, à partir de demain on aura 3 H de décalage au lieu de 2, quelle galère ce décalage horaire !!!

    Bon WE et prends soin de toi. Je te fais de gros bisous d’amitié.

  6. Bonjour
    Je ne suis pas très fan, mais j’aime bien le cerf et ce corps emergeant de la terre . Bon week end bises

  7. Du vent, de la pluie, les canards et les poules d’ eau chez ma fille vont apprécier !
    on a aussi des températures de saison, ce qui fait qu’ on est mieux chez soi !
    Passe une bonne fin de semaine
    bisous

  8. Ces sculptures sont agréables à l’oeil et chargées de sens que je comprends mieux que celles de ton précédent billet Francine mais il en faut pour tous les goûts … j’ai bien aimé l’environnement aussi …merci à toi et à tes recherches pour nous éclairer par tes exposés explicites.
    Bises pour un doux week end malgré la pluie, ne pas oublier le changement d’heure dont on se passerait bien mais ..
    Bonne soirée Francine ! Nicole

  9. Salut,

    Le temps est toujours à la pluie.

    Je suis content car ce matin j’ai réussi à trouver des

    gâteaux LU “PINS” saveur orange car on n’en trouve plus chez Leclerc .

    Chez Intermarché j’ai raflé les 4 qui restaient.

    Je vous souhaite un bon week-end

  10. Bonsoir Francine.
    Pas laides du tout ces sculptures; et pourtant, je n’aime pas l’art moderne…
    Après-midi superbe.
    Bonne fin de semaine.
    Gilbert et Bernadette

  11. Bonjour Francine
    Merci pour toutes tes photos
    Ces oeuvres sont étonnantes et je les aime toutes, elles interpellent et permettent de s’évader un bon moment
    Bisous
    Am

  12. A part les deux cœurs la statue du cerf m’emballe! Protection ou supériorité de la nature!!! Pur les autres oeuvres un vent de nouveauté parcourt ce splendide endroit!! Bises

  13. Cette série d’œuvres me plait plus que la précédente. Ma préférée : la personne couchée sur le sol. Les bananes sont très réussies, je croyais que c’était des vraies avant de lire tes explications.

        • ça vaut mieux, pluie prévue l’après midi, ce n’est pas le bon jour, au final demain ça sera mieux, l’inverse de ce qui était prévu !
          bonne visite; j’ai visité les Catacombes les premières années que j’étais à Paris, je n’y suis jamais retournée

  14. C’est vrai que le jardin des Tuileries convient parfaitement à ce genre d’exposition.
    Même si je ne suis pas fan d’Art contemporain, je suis attiré, tel un aimant, par la curiosité qu’entraîne systématiquement ce genre d’exhibition.
    Bravo pour cette série bien cadrée où tu nous fourmis moults informations utiles.
    Bonne fin de semaine.

  15. Kikou Francine,
    Je préfère cette série d’oeuvres.
    Elles me parle beaucoup plus.
    C’est gigantesque.
    Bon week-end à toi.
    Ici toujours de la pluie.
    Bisous ♥

  16. Bonsoir Francine,
    Comme déjà mentionné de belles oeuvres , mais peut passionné……
    merci du partage
    bonne soirée
    Amitiés

  17. Salut,
    C’est vraiment le grand amour avec ces deux coeurs.

    Il a plu ce matin mais cet après midi le ciel s’est éclairci .

    J’emmène la Tiotte chez le toubib.

    Ensuite on passe à la pharmacie pour faire plein .

    Bonne fin de journée

  18. Bonjour Francine, tes photos sont magnifiques et quelle belle journée d’automne.
    Coup de coeur pour les deux coeurs, la femme allongée et bien entendu, tout le reste est superbe. Merci pour toutes tes informations.
    Gros bisous et agréable après-midi ♥

  19. Bonjour Francine
    Il y a de très belles œuvres !
    J’aime beaucoup le double ♥ , les sculptures en résine et en bronze et les bananes plus vraies que nature !
    Merci pour tes explications, sur mon billet du jour de mon second blog moi j’ai photographié le panneau explicatif et fait des liens vers le site des artistes, ça m’évite d’écrire …. lit et clique qui veut ! lol !
    Bisous, bonne soirée

  20. Belle suite de visite Francie, un grand merci !
    Ces artistes sont talentueux et les œuvres superbes. J’ai aimé la belle endormie.
    Merci pour tes belles photos et tes explications très instructives.
    Bises et bon jeudi – Zaza

  21. Et oui, même si c’est de l’Art moderne et parfois osé…comme serenade…cela a le mérite d’être nouveau ! Et toutes créations peut avoir son charme ! Bisous de Bourgogne qui retrouve en ce moment l’eau qui lui manquait ! Gilbert d’Ahuy

  22. coucou tout est magnifique ,tes photos sont très belles , et il pleut depuis ce matin c’est triste ce temps mais la terre a besoin d’eau , je te souhaite un bon Jeudi ,belle journée ,bises

  23. une belle suite de cette série Francine

    j’aime en particulier le “Double Heart” et la sculpture Ares”

    merci pour ce joli partage

    bonne journée

  24. Bonjour d’Angers,
    Oui ! … Tout cela mérite le déplacement ! …
    ~
    Bonne journée … Amicalement … Claude …
    Mon blog : htpp://www.les-mauges.fr

  25. Friedmann, Muholi et Kovarik ça passe encore par le côté réaliste de leurs oeuvres, avec une nette préférence pour les sculptures de Muholi !
    Pour le reste, j’ ai bien du mal à comprendre qu’ on y trouve quelqu’ intérêt !
    Mais bon, tu m’ avais prévenu
    Passe une bonne journée
    Bisous

  26. Une belle série qui commence avec de l’amour et continue avec des statues qui pour certains me plaisent beaucoup comme cet homme avec un cerf sur la tête, la femme ligotée, le pingouin, bref c’est bien de pouvoir découvrir ce qui se passe dans la capitale. Merci et bisous

  27. Bonjour Francine j’aime beaucoup les coeurs et les bananes, pour le reste j’aime sans plus bisous et merci pour ce beau reportage MTH

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