” L’Arte Povera n’est pas minimal, il est radical. ” Michelangelo Pistoletto
Michelangelo Pistoletto s’efforce de faire pénétrer la vie dans l’art. L’artiste délivre les secrets de ses œuvres exposé en ce moment dans l’exposition “Arte Povera”.
Retraçant les différentes dimensions de la pratique de Pistoletto, l’espace est ici habité par les ” objets en moins ” et les ” tableaux miroirs ” de l’artiste, pour lesquels il insère des figures, humaines, objectales ou architecturales, en papier peint et, plus tard, en sérigraphie, sur des surfaces réfléchissantes. Le miroir englobe le spectateur, permet de créer un tableau infini, où les visiteurs deviennent des éléments de composition.
Michelangelo Pistoletto est connu à Paris grâce au travail de la galeria Continua. Ses ” tableaux miroirs ” comme Pace appartenant à la Collection Pinault lui valent une reconnaissance internationale. Il créé avec le groupe Zero des projets de collaboration collective avant de lancer le programme ” Progretto Arte ” qui place l’art au cœur d’une transformation sociale et de fonder la Cittadellarte – Fondazione Pistoletto.
La cage
Michelangelo Pistoletto, La gabbia (La cage), 1974. Sérigraphie sur acier inoxydable poli miroir.
13 éléments : sérigraphie sur acier, inox poli miroir, 230 x 125,2 cm (chaque) Dimensions totales: 230 x 1627,6 x 2 cm
Courtesy Galleria Christian Stein, Milano

Dans l’Arte Povera, nature et culture cohabitent et dialoguent en continu. La gabbia (” La cage “, 1962 – 1974) de Michelangelo Pistoletto étend l’espace au-delà de ses limites. Le spectateur voit sa silhouette doublée sur la surface du miroir, mais sa liberté est comme contrariée par une série de verticales simulant les barreaux d’une cage ou d’une prison. Le miroir, pour Pistoletto, est le matériau qui ouvre le monde à l’infini (Metrocubo d’infinito ” Mètre cube d’infini “, 1966) et met l’humain face à son présent et à son histoire.


L’installation immersive La Gabbia, la cage en italien, piège le spectateur dans une expérience de captivité. Abolissant la distinction spatiale entre dedans et dehors, la très longue surface réfléchissante d’un miroir scandée de barreaux noirs en trompe-l’œil cherche à l’emprisonner visuellement, tandis qu’il reste libre de ses mouvements dans la salle d’exposition.
Le motif de la cage et du miroir associés apparaît dès le début des années 1960 dans l’œuvre de Michelangelo Pistoletto jusqu’à l’étirer dans des installations monumentales, comme en témoigne cette œuvre. Il incarne selon lui la rencontre entre l’image-temps et l’image-mouvement, saisis ensemble : ” Le temps fixe suit le temps qui change, dans le même espace, sur la même surface. C’est un piège, j’ai dit une capture du présent “.


L’œuvre La Gabbia a été présentée pour la première fois par la Collection Pinault à l’occasion de la grande exposition collective « Mapping the Studio » tenue en 2009-2011 à Punta della Dogana et à Palazzo Grassi à Venise.
Mappamondo
Accompagné par d’autres artistes, vous avez fait rouler l’œuvre Mappamondo (1966 -1968), une sphère de journaux, dans les rues de Turin. Pourquoi ce geste ?
J’ai ressenti le besoin de rassembler tous ces papiers de journaux, symboles de l’actualité, pour en faire une boule. Lorsque la boule était présentée dans l’ensemble des « Objets en moins », c’était la seule œuvre qui pouvait être déplacée. Alors je me suis dit : « Pourquoi ne pas la faire rouler à l’extérieur de mon atelier ? ». Je l’ai poussée dehors et, dans la rue, les gens se sont approchés et ont commencé à faire bouger la sphère eux-mêmes sans savoir que c’était une œuvre d’art. J’ai compris que la sphère, en elle-même, possédait le pouvoir de représentation du concept de « hasard ». C’est le hasard qui se manifeste. Alors, une sorte de compétition personnelle se met en place, où chacun tente de diriger le hasard vers un but. C’est pour cette raison que j’accorde beaucoup d’importance au sport, comme au football par exemple. Le hasard y occupe une place centrale, au cœur du terrain, et deux personnes s’affrontent, chacune cherchant à maîtriser ce hasard en sa faveur. Et finalement, qu’est-ce que la victoire ? La victoire n’est pas un acte participatif en soi, mais elle requiert la participation pour se manifester.

La Vénus des chiffons, provocation entre beauté et pauvreté
Michelangelo Pistoletto, Venere degli stracci, 1967, reproduction de Vénus en ciment recouvert de mica et de chiffons, 150 × 280 × 100 cm (installation). Courtesy du Castello di Rivoli Museo d’Arte Contemporanea, Rivoli-Turin. Prêt de la Fondazione per l’Arte Moderna e Contemporanea CRT.


L’installation consiste en une sculpture en béton, une reproduction de la statue de Vénus à la pomme du sculpteur néoclassique danois Bertel Thorvaldsen , flanquée d’une montagne de chiffons.
Dans une interview accordée au Corriere della Sera en 2024 , l’artiste a raconté la genèse de l’œuvre : il a acheté la statue chez un détaillant d’articles de jardin, et l’idée de l’installation est née par hasard, lorsqu’il l’a placée à côté. à un tas de chiffons qui étaient présents dans son bureau.
Dans ce cas, les formes de l’art classique se heurtent au désordre de la vie moderne (wikipedia)

Critique du consumérisme ou apologie du recyclage
La Vénus aux chiffons s’inscrit dans le courant artistique de l’Arte Povera dont Pistoletto est un des membres majeurs. Ce mouvement créé en 1966 réunit des artistes qui partagent la volonté d’un art plus sobre, ancré dans le partage et en opposition avec le consumérisme. Les œuvres issues de ce mouvement sont le plus souvent des installations créées avec des matériaux simples du quotidien, signe d’une volonté des membres d’abolir la frontière entre art et vie quotidienne.

La figure de Vénus, déesse romaine de la beauté et de l’amour, s’oppose visuellement et symboliquement au tas de détritus, représentant selon l’artiste la pollution physique et la corruption morale. Bien que l’installation représente une critique des dangers et des excès de la surconsommation, elle incarne également l’idée de régénération, ses torchons étant eux-mêmes faits de tissus usagés. (connaissance des arts)
Miroirs
Pistoletto se fait remarquer dès le début des années 1960 par la série des Quadri specchianti (tableaux miroirs) : en appliquant des images obtenues par report photographique sur des plaques d’acier inoxydables réfléchissantes, l’artiste inclut le spectateur et l’environnement dans l’œuvre d’art. Ces oeuvres transforment la surface picturale en un passage : ” trans ” (passer au travers) ” forme ” (le tableau). Ce potentiel de transformation du miroir, dans lequel une quantité infinie de vie et d’espace peut entrer.
Michelangelo Pistoletto s’efforce de faire pénétrer la vie dans l’art. Célèbre pour sa série des ” tableaux miroirs “, qui incluent le spectateur et son environnement dans l’œuvre, Pistoletto fait de son art un espace de réflexion sur l’engagement social et la transformation permanente.

Color and Light 2021
Courtesy the artist


Conversation sacrée
Michelangelo Pistoletto, Sacra conversazione
(Conversation sacrée), 1975. Sérigraphie sur acier inoxydable poli.
Courtesy Castello di Rivoli Museo d’Arte Contemporanea (Rivoli-Turin), prêt d’une collection particulière.

La Sacra conversazione (” Conversation sacrée “, 1975) de Pistoletto renvoie bien entendu à la peinture religieuse de la Renaissance italienne. Dans cette œuvre, trois personnages masculins en habits modernes (de gauche à droite : Giovanni Anselmo, Gilberto Zorio et Giuseppe Penone) sont réunis et discutent à la surface d’un miroir. La figure de la Vierge Marie, normalement au centre de ce thème, est absente ; c’est la présence projetée du spectateur qui vient activer le sujet par son entrée dans l’espace sacré.
Pace
Pace (1962-2007), reprend le motif du miroir, apparu dès le début des années 1960 dans l’oeuvre de Michelangelo Pistoletto. C’est en 1961 qu’il réalise son premier report d’image photographique sur un miroir, en se servant de plaques d’acier inox poli sur lesquelles il fixe une silhouette découpée. Ces tableaux-miroirs instaurent un rapport d’instantanéité entre le spectateur et son reflet. Selon l’artiste, le miroir permet la saisie combinée de l’image-temps et l’image-mouvement : ” Le temps fixe suit le temps qui change, dans le même espace, sur la même surface. C’est un piège, j’ai dit une capture du présent “. Le drapeau arc-en-ciel, avant de devenir l’emblème des communautés LGBT+, est choisi pour incarner les aspirations pacifistes dès 1961 en Italie : c’est avec ce sens qu’on le trouve dans Pace de Michelangelo Pistoletto.

Cette œuvre a été montrée pour la première fois par la Collection Pinault en 2023 au Couvent des Jacobins à Rennes à l’occasion de l’exposition ” Forever Sixties “.
Michelangelo Pistoletto, Guardaroba
(Garde-robe), 1968 – 2024. Garde-robe métallique, cintres et vêtements. Courtesy the artist
Les tas de vêtements délaissés de Pistoletto dans son œuvre Guardaroba (” Garde-robe “, 1968 – 2024), les objets humbles (les scarpette de Marisa Merz, les sandali de Piero Gilardi), l’usage récurrent de la laine (en référence aux origines de saint François) ou de la corde (en référence à la ceinture des Franciscains) que l’on retrouve chez Jannis Kounellis, tout comme le mode de vie sobre de Pier Paolo Calzolari (Il mio letto così come deve essere, ” Mon lit comme il doit être “, 1968), sont des hommages à la pensée franciscaine.


L’Arte Povera puise dans la sensibilité franciscaine une iconographie et des codes qui réancrent l’histoire de l’art italien dans le présent et proposent une autre vision du monde, un autre rôle pour l’artiste dans la société faisant primer le collectif sur l’individualité (Boetti, Sciogliersi come neve al sole, ” Fondant comme neige au soleil “, 1988) ainsi qu’une autre direction pour le vivant (Anselmo, Direzione, 1967).
L’Arte Povera est une esthétique, mais aussi une philosophie qui invite à habiter la terre avec mesure et humilité, dans un rapport d’équilibre avec la nature
QR Code Possession – Generative Artificial Intelligence
Pour son exposition à la Bourse de Commerce, l’artiste présente également la série QR Code Possession – Generative Artificial Intelligence, six grandes toiles sérigraphiées représentant des QR codes colorés. En scannant les tableaux avec un téléphone, le public accède aux réponses générées par l’intelligence artificielle à des questions que l’artiste pose à propos de sa pratique – les questions posées commençant par « Écris un texte sur (…) ». Que ce soit à travers les « tableaux-miroirs » ou les « tableaux QR codes », Pistoletto considère ses œuvres comme un passage, comme un portail conduisant vers autre chose.

Scultura lignea (Oggetti in meno) 1965-1966
Courtesy Cittadellarte Fondazione Pistoletto Collection

Michelangelo Pistoletto

Sources
https://lesoeuvres.pinaultcollection.com/fr/oeuvre/la-gabbia


Re ah oui c’est drôle Florentin à fait la réponse que je voulais faire au sujet de la vénus ,je pense qu’elle cherche quelques fringue pour bien s’habiller mais bon il y à du choix du coup elle ne sait pas qu’elle prendre ha ha …
Merci pour les explications de cette expo car c’est un peut compliquer et aussi pour les belles photos.
J’aime bien le Pace voila qui ne doit pas plaire à Trump lolo pourvu qu’il ne vienne pas à Paris pour y mettre le feux lol car ce drapeau représente tout un symbole qu’il n’aime pas du tout quand on voit les lois qu’il passe en ce moment il y à de quoi avoir peur pour notre avenir.
Pistoletto a fait beaucoup parler de lui en Italie et voilà que sa renommée passe les frontières. Sa Venus aux chiffons a eu plusieurs répliques puisque une nuit elle fut détruite!! Cette approche à l’art contemporain ne fait pas l’unanimité si je lis les commentaires….mais il faut aussi s’élever du ras des paquerettes! 🙂 Bises
Bonjour Francine. Belle présentation de cet artiste et de ses oeuvres. Les explications sont indispensables. Bonne journée et bisous
Coucou Francine
Michelangelo Pistoletto s’efforce de pénétrer la vie dans l’art!
L’art peut analyser le fonctionnement de la société en montrant de ce qu’elle a de meilleure comme ce qu’elle a de pire
Je trouve cette exposition intéressante !merci pour ton article ! Bisous ????
Vénus qui commence à se geler les miches (c’est l’hiver) ne serait-elle pas en train de chercher quels fringues mettre ? Bon, c’est pas drôle, je l’admets, je sors. Je ne suis pas fan de l’art moderne, je te l’ai déjà dit, mais, cette fois, j’ai été intéressé par ton reportage, où les explication nous éclairent bien sur la pensée de l’artiste et son souhait de réconcilier l’art et le quotidien. Bises et à plus. Florentin
hé bien voilà, tout arrive ! oui pauvre Vénus, elle se les gèle !!!
à Milan, l’artiste avait installé cette oeuvre version ” géante “, elle a été incendiée; acte criminel, selon moi en tout cas
Bonsoir Francine.
Rien à mon goût mais je suis un peu ringard !
Journée ensoleillée qui m’a permis d’aérer la maison avant la journée de demain, annoncée pluvieuse.
Gilbert et Bernadette
Bonsoir
Je n’irai pas voir cette expo mais il y a quelques présentations qui attirent mon attention.
Merci pour les photos et explications, bonne soirée bises
Originale et insolite voilà ce qui correspond à cette expo
Merci pour toutes ces explications
Bonne soirée
Bisous
Merci, bonne soirée à toi aussi, bises
Salut,
Il pleut, il pleut bergère rentre tes moutons…..
On est bien au chaud à regarder les conneries de la TV sur la SUBMERSION MIGRATOIRE.
J’espère que tout va bien pour vous.
BONNE JOURNEE
Je le trouve très convaincant, ce monsieur Pistoletto… moi qui ne suis pas un fana d’Art Contemporain, comme tu le sais.
J’aime bien cette exposition, les miroirs, la cage, l’enfermement, le mouvement, le temps qui passe, le présent, la Vénus, les chiffons, etc. tout cela est admirablement ficelé.
Bravo à cet artiste et à toutes les informations jointes entre les images.
Bonne journée Francine.
Bonjour Francine un joli reportage quand même avec ces belles photos bonne journée Claudine Daniel
mais oui quand même ! et en plus chez moi pas de rediffusion, que de l’inédit !
bon vous allez encore souffrir un peu, je n’ai pas tout montré, désolée; courage !!!
superbe billet Francine superbes photos, il pleut beaucoup et pas mal de vent mais les fleuves pour le moment sont haut mais pas dehors, je te souhaite un bon Mercredi bises
Bonjour ma douce Francine
Tout d’abord merci pour tes explications et tes superbes photos.
C’est original et insolite, en tous les cas j’aime beaucoup la Vénus chiffons car franchement il fallait le faire et ces miroirs (effets miroirs) c’est lumineux.
On aime ou pas mais perso je trouve que c’est plein d’originalité et je n’avais vu cela alors j’ai passé un agréable moment sur ton beau blog.
Doucement pour ne pas te réveiller je frappe à la porte de ton beau blog et merci de m’en ouvrir la porte.
Hier on est allés pique niquer dans les Hauts avec Nicole une belle sœur et son mari et mon mari, en quittant la maison la température affichait 35° hier matin et arrivés à la forêt de Bébour Plaine des Palmistes dans les Hauts on avait 20° donc 15 degrés de moins en ne faisant qu’environ 40 kms, quel bonheur de respirer un peu de fraîcheur des Hauts et malgré le temps gris, un peu de brouillard et même du crachat de pluie l’après midi, on a passé une excellente journée sous un grand kiosque bien abrité dans cette belle forêt, cela nous a changé les idées.
Toi j’espère que ta journée d’hier a été belle, sans trop d’intempérie, avec du soleil et je t’envoie du soleil car chez moi dans les bas le long du littoral on attend désespérément la pluie qui ne vient pas.
Une envolée de gros bisous d’amitié de l’île intense.
bonjour Francine
j’aime bien l’histoire de la mappemonde, peut-être à cause de mon attirance pour les voyages ??
bisous
Bonjour Francine, même s,’il y a une volonté des membres d’abolir la frontière entre art et vie quotidienne, c’est surprenant ! Mais merci de ce beau billet, de très belles photos et de nombreuses explications qui nous permettent de mieux comprendre cette exposition.
Bises et bonne semaine, fanfan
en effet, je crois qu’on a bien besoin d’explications pou comprendre ce qu’ont voulu exprimer les artistes, moi la première
Drôle mais c’est un peu compliqué
Bisous
Salut,
Intéressant cette Vénus des chiffons!
On a un temps venteux mais il ne fait pas froid.
On est devant la TV comme depuis le début de la vague de fraicheur.
Sinon on attend tranquillement la fin peut-être celle du monde , qui sait ?
J’espère que tout va bien pour vous!
BONNE JOURNEE
Kikou Francine,
De bonnes explications sur ces sois- disant oeuvres.
C’est très sympa de ta part de nous montrer des insolites et ça en fait partie.
J’aime beaucoup, tu prends le temps de prendre des photos, de donner les explications…Tu es adorable !
Mais je n’accroche pas du tout.
Belle soirée, gros bisous ♥
Aimée
Une expo que je n’irai pas voir . . .
Prend soin de toi.
Bonne soirée.
Bises.
Et dire que j’ai tant critiqué ma mère et maintenant je suis tentée de dire la même chose : c’était mieux avant !! Mais au moins on sait à quoi ressemble l’art actuel. Peut-être que dans des centaines d’années, ce sera prisé !Qui sait !! Je t’embrasse bien amicalement. FRANCOISE
Bonsoir Francine,
Rien ne se perd tout se recycle en tout temps, pour les chiffons même si çà en inspire l’artiste je n’adhère pas mais par contre cette grille a vraiment un sens… Les oeuvres “miroir” sont une belle inspiration bien en rapport avec cette période de création.
Rien ne t’échappe Francine et tu montres des oeuvres pour tous les goûts au long de tes pages de blog.
Bonne soirée avec mes pensées amicales du soir . Nicole
Ce n’est toujours pas ma tasse de thé mais il est important de découvrir des œuvres pour être dans le coup ou tout simplement pour s’instruire. Heureusement tes photos me plaisent beaucoup. Bizarrement, les QR codes sur le mur me plaisent bien, il ne faut pas chercher pourquoi (sourire).
Bonne semaine Francine, bises !
Salut,
Après une nuit venteuse et pluvieuse on a un beau soleil et 11°.
On est quand même devant la tV dans les fauteuils.
Je vous souhaite une bonne semaine
et surtout une bonne fin de journée.
Bonjour Francine , je ne peux pas dire que je sois emballée par le tas de vêtements, mais bon il faut vivre avec son temps et puis si certains pensent que c’est de l’art pourquoi pas, je suis plus traditionnelle , normal vu mon âge, merci pour tout ce que tu nous donnes à voir avec tes magnifiques photos bisous bon après-midi MTH
Bonjour Francine,
Un joli reportage photographique
Mais les oeuvres avec les chiffons m’intéressent peu
Bon début de semaine
Bonjour Francine
bravo cet Article original ils ne savent plus inventer pour les décos de vêtements avec la Statue j ai aimer et ou tu as commencer merci des détails il faut tout pour faire un Monde je te souhaite un excellent Lundi et tes deux chats bisous et pour eux DANNN
Là j’avoues que je reste dubitative devant cette expo, à part les 2 dernières sculptures. Mais c’est de l’Art !Belle semaine. Bisous Flo
Je me dis que ces nouveaux ” artistes ” savent qu’il n’ y a plus rien à espérer du style réaliste ancien, alors, ils inventent !
Je remarque aussi, qu’on parle beaucoup de recyclage, de vêtements, comme de téléviseurs ou machines diverses, et on voit fleurir des magasins un peu partout, genre ressourceries, avec à la tête des petits malins qui se font des fortunes !
C’ est aussi à l’image de la pauvreté de l’ époque !
Passe une bonne journée
Bisous
J’ai du mal avec les photos où il y a les tas de chiffons mais j’aime bien les premières images autour de la cage et la petite sculpture finale. Bisous et bonne semaine.
Coucou Francine,
Belle suite de visite de cette expo.
La Cage est impressionnante, quant à la Venus aux chiffons, elle est surprenante.
Merci pour tes photos commentées.
Bises et bon début de semaine – Zaza
Bonjour, l’art sous ses multiples facettes et inspirations…. La Venus ne restera pas nue longtemps, 😉 merci Francine, amitiés, jill
Bonjour Francine, tu connais déjà ma réponse mais je te remercie pour ton travail de recherches et de partage. La boule on peut imaginer que la terre nous est tombée dessus mais l’amas de chiffons je trouve cela grotesque et sans art même pauvre soit il par son nom.
J’espère que tu ne payes pas cher l’entrée lol ,je te taquine.
Un peu de soleil ça fait du bien mais la mer bouge…
Bisous ???? et câlins à tes boules de poils
oui, et je paye plein pot, même en tant que retraitée, à Paris la gratuité est soumise au plafond des ressources, je vais quand même revérifier tout ça !